Les brèves

Hugo décrypte

Nicole Gnesotto, créée le 10-09-2023

"Normalement, à la période de la rentrée je fais une brève sur le dernier livre d’Amélie Nothomb. Mais cette année, il s’agit d’un éloge des oiseaux en 180 pages, mais ayant personnellement en horreur tous les volatiles, je ne puis décemment pas vous le recommander. Je vous conseille en revanche de suivre le site « Hugo décrypte », ce journaliste qui vient de faire la longue interview d’Emmanuel Macron. Je le suis depuis très longtemps, et en plus d’un chaîne YouTube, il y a un compte Instagram, avec des publications quotidiennes, rappelant les cinq point forts de l’actualité en une minute seulement. C’est très court mais extrêmement bien fait, je vous le recommande chaudement. "


Dictionnaire amoureux du rugby des temps modernes

Richard Werly, créée le 10-09-2023

"Je ne suis pas spécialement un fan de rugby (la Suisse n’a d’ailleurs pas d’équipe présente pendant cette coupe du monde), mais je me suis plongé par curiosité dans cet ouvrage de Daniel Herrero. J’y ai appris beaucoup de choses, mais cela m’a aussi permis de développer une thèse que je vous livre ici : à l’origine ce sport était très élitiste, il est devenu un sport très populaire. Et selon moi, si le rugby rassemble autant (par opposition au football qui divise), c’est à cause de l’argent. Pour le moment le rugby (même s’il s’est largement professionnalisé) n’est pas encore inondé par l’argent. Comme disait Winston Churchill : « il faut décidément être Anglais pour avoir inventé un ballon ovale »."











Love life

Lucile Schmid, créée le 02-07-2023

"Je recommande ce filme signé d’un réalisateur japonais que j’apprécie beaucoup, Kôji Fukada. Le titre ne rend pas vraiment compte de ce que montre le film, à savoir la vie d’une famille japonaise qui va peu à peu se dérégler. Love life, c’est la façon dont vos souvenirs et votre vécu vont venir bousculer un quotidien qui peut sembler sans histoires et même heureux. Comment la vie rêvée n’est jamais possible à vivre dans la vie réelle. C’est extrêmement poétique, il y a un grand formalisme, mais aussi une analyse d’ordre sociologique, on y traite aussi les relations très difficiles entre Coréens et Japonais. C’est très beau et assez subtil."